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Attractions à Jérusalem

Attractions

<div class="raw-html-embed">En 1898 l’empereur allemand Guillaume II est venu à Jérusalem à l'occasion de la consécration de l'église du Rédempteur. Durant son séjour, l’empereur a acheté le terrain sur le Mont Sion où s’est passée l'Ascension de la Vierge Marie. Douze ans après, les architectes de l’empereur ont terminé la construction de l'église du sépulcre de la Sainte Vierge sur le terrain acheté auprès de la place où a eu lieu la Cène. On a restitué à l'église son nom initial : l’Abbaye de la Dormition de Jérusalem.</div>&nbsp;L'église se compose de deux parties : l’une de l'église en forme ronde avec deux escaliers tournants qui mènent à la crypte vénérée comme le lieu de la Dormition, et l’autre de haut campanile avec la coupole qui se trouve non loin de l’église – le signe du respect aux musulmans. De part sa disposition, le campanile ne jette pas l’ombre sur le Tombeau de David qui est sacré aux musulmans. La statue de la Vierge Marie dormante, en bois, ivoirine et en mosaïque impressionne par sa beauté.

L'église du sépulcre de la Sainte Vierge à Jérusalem

Shmuel Yosef Agnon (connu aussi sous le prénom Shai) est renommé comme le seul écrivain israélien dans l’histoire à avoir remporté le Prix Nobel de littérature. Néanmoins, il était non seulement un écrivain éminent, mais aussi un hiérosolomytain dévoué typique.
Pendant la remise du Prix Nobel, l’écrivain reconnu a noté dans son discours, qui a été fait en hébreu, que « Titus, un empereur romain, a détruit Jérusalem, et les Israéliens ont été exilés de son pays, et à cause de cette catastrophe historique je suis né dans une des villes d’Exil. Mais je me toujours regardais comme une personne qui est née à Jérusalem ». Après la mort de l’écrivain, sa maison à Talpiot, un quartier de Jérusalem, est devenue une place illustre. Les gens y viennent pour voir la vie modeste de l’écrivain, sa bibliothèque magnifique et, bien sûr, son Prix Nobel.
Toute l’année on fait des cours et séminaires dans la salle de lecture de la Maison-musée, en outre on organise des tours pédestres et autres actions.

Maison-musée Shai Agnon

Le 6 juin 1967, à 02h30, les parachutistes israéliens ont pris d'assaut la Colline des Munitions (Givat HaTahmoshet), un avant-poste jordanien, stratégiquement situé entre Jérusalem-Est et Jérusalem-Ouest, en route vers l'enclave israélienne au Mont Scopus. Les militaires ont rencontré une résistance plus forte que ce qu'ils espéraient et une bataille féroce a éclaté, durant plusieurs heures. Comme le soleil se levait sur la colline, les Israéliens sont sortis victorieux. Mais le triomphe est venu à un prix amer : 37 soldats ont été tués dans les bunkers jordaniens.
Aujourd'hui, la Colline des Munitions est un lieu de mémoire pour tous ces soldats israéliens tués lors de la guerre des Six Jours. Le réseau de tranchées et de bunkers est toujours en place, et un spectacle de lumière interactive et modèle à grande échelle de Jérusalem permet aux visiteurs d'obtenir un vrai sens de la réalité sur le terrain au cours de ces quelques jours fatidiques en juin 1967.
Vous pouvez profiter de l'aire de pique-nique sur place pour des discussions avant ou après la visite de Colline des Munitions.
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La Colline des Munitions (Givat HaTahmoshet)

La rue Ben Yehuda, une des premières places des rencontres de Jérusalem pour locaux et pour des voyageurs, est un centre commercial piéton allongeant parmi rue King George et rue Jaffa au centre de Jérusalem.
Couramment dénommé  « Midrechov » (le mot juif qui colle le mot « rue » avec « trottoir »), la rue Ben Yehuda a devenu fermée pour la circulation motorisée dès 1983 – c'est une tendance qui désormais se développait pour la plupart des rues aux environs.
La rue Ben Yehuda attire des hordes touristiques, qui font du shopping des cadeaux et qui s'arrêtent pour manger du falafel ou de la glace dans une des petites cantines sur la rue. La distraction surabonde ici (souvent à l'impromptu), parce que la rue Ben Yehuda est émaillée des musiciens et des comédiens de rue, et pendant des saisons d'été et des vacances la municipalité organise des festivals, notamment ceux de la musique vivante.
La rue Ben Yehuda est une destination à visitée pour trouver quoi que ce soit : de souvenirs à chaussures, de bistros de la viande à rayons du yaourt glacé.
Astuce: Regardez une liste des tours libres de samedi de la municipalité aux environs du centre de la ville.
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Rue Ben Yehuda

La Maison de Confédération qui est située en face des murs de la Vieille ville derrière l’hôtel King David tente de rassembler les différentes cultures qui vivent à Jérusalem, en utilisant les langues universelles de la musique et de l’art.
Suivant l’exemple de sa localisation, étant situé en parti dans l’est-ouest de la division de Jérusalem, la Maison de Confédération est devenue le lieu de l’exploration de l’héritage musical des cultures différentes : juive, arabe, musulmane, éthiopienne, ashkénaze/sépharade. La maison de Confédération accueille régulièrement les concerts, les lectures de poésie et les spectacles de théâtre, produisant les événements nationalement et internationalement acclamés comme le festival annuel des poètes (qui se déroule dans la ville de Metula au nord), et la fête d’oud de Jérusalem qui doit son succès à la présence de musiciens orientaux célèbres chaque année.
Quand il s’agit du théâtre, la Maison de Confédération est un lieu d'accueil pour l’ensemble éthiopien Hullegeb. Outre la dose enivrante de culture, les visiteurs de la Maison de Confédération admireront une des meilleurs vues des murs de la Vieille ville, en étant assis au Te’enim, un des plus vieux restaurants végétariens, ayant quelques surprises culinaires dans sa manche.

La Maison de Confédération

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Vaste poumon vert au cœur de Jérusalem pour sportifs ou promeneurs et son café en pleine nature

Gan Sacher (parc)

Situé aux pieds du Mont des Oliviers, le Jardin de Gethsémanie est l'endroit dans le quel Jésus pria et ses disciples dormirent, suivant la tradition chrétienne. Il est depuis devenu un important lieu de pélerinage. En plus de sa signification religieuse, une étude scientifique a montré que les oliviers du jardin sont parmi les plus vieux au monde.
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Le Jardin de Gethsémanie

Le parc de l'Indépendance est une vaste zone verte au centre de Jérusalem, encadrée de la rue King Georges à l'ouest, la rue Agron au sud, la rue Hillel au nord et l'ancien cimetière de Mamilla à l'est.
Le parc a été un terrain libre à l'époque du mandat britannique constituant une séparation entre le centre juif de Jérusalem et les secteurs habités par des Arabes fortunés au sud. Après la division de Jérusalem suite à la Guerre d'indépendance en 1948, des travaux sont entrepris pour transformer le lieu en un parc public, sur instruction du nouveau gouvernement israélien. Le parc est inauguré en 1959.
Dans la journée c'est un des principaux lieux de détente et de promenade pour des gens travaillant à proximité et préférant déjeuner à l'extérieur, des familles avec enfants arrivant pour pique-niquer ou jouer à la balle, des jeunes dégustant une bière sans hâte à l'ombre de grands pins. Or, dès que la nuit tombe, il devient le principal lieu de rendez-vous gay de la ville, à l'instar du parc de l’Indépendance de Tel Aviv. C'est aussi la raison pour laquelle les LGBT (les minorités sexuelles) ont pris goût à y organiser leurs évènements, par exemple, la fameuse Gay Pride. D'autres évènements comme la célébration de la Journée nationale des étudiants qui réunit des milliers d'amateurs de la musique live, sont également organisés dans le parc.

Parc de l'Indépendance

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Bien que vous puissiez visiter Jérusalem pendant des jours et encore à peine gratter la surface, si vous voulez avoir une vue d'ensemble de la ville et de son histoire dans un spectacle expérientiel pour toute la famille, sautez dans l'ascenseur temporel.

Dans l'ascenseur temporel, le spectateur n'est pas seulement un observateur passif dans le domaine de l'histoire. Les sièges confortables entraînent le public dans le vortex du temps, tandis qu'un système de son surround rapproche le spectateur des événements et rend l'expérience encore plus impressionnante.
Il y a plusieurs sièges fixes et les autres se déplacent en fonction de l'intrigue et des événements à l'écran. Vous ferez le voyage à l'aide de technologies de pointe, qui vous emmèneront vers des destinations que vous ne pouviez jusqu'à présent que rêver d'atteindre... sans bouger de votre fauteuil !
<h2>Un voyage à Jérusalem</h2>
L'ascenseur temporel de Jérusalem - un voyage fascinant dans les secrets de la ville - spectacle 2D

Le spectacle se déroulera dans les langues suivantes : hébreu, anglais, russe, français, espagnol, italien, allemand et chinois mandarin.

C'est l'occasion de connaître Jérusalem en profondeur et d'une manière insolite - rejoignez-nous pour un voyage fascinant dans les profondeurs de la terre de Jérusalem. Pendant le voyage, nous rencontrerons des personnages historiques tels que le roi Salomon, Sédécias, Jérémie, Hérode et tous les gens qui ont vécu et travaillé dans la ville et en ont fait ce qu'elle est. C'est un voyage passionnant à travers les manoirs de la période du Second Temple, les rues d'Ilia Capitolina, le palais caché du roi Salomon et les ruelles colorées de la ville byzantine. Venez chercher des trésors perdus dans des grottes cachées, rencontrez Saladin et observez la vue imprenable sur la Jérusalem de Ma'ale.

L'ascenseur temporel de Jérusalem est une expérience interactive multi-sensorielle et enrichissante qui vous fera découvrir les 3 000 ans d'histoire de la capitale d'une manière fascinante et par des moyens innovants. L'émission sera animée par Haim Topol, dans le personnage de Shalem - un guide vieux de 3 000 ans. Shalem conduira les invités dans les profondeurs des différentes couches de la ville disposées sur une chronologie. De cette façon, vous pourrez connaître en profondeur les différentes étapes de l'histoire de la ville sainte pour les trois religions.

Nous terminerons le voyage par un vol aérien au-dessus de la Jérusalem moderne.

L'expérience a été produite selon le principe de l'Edutainment (Education + Entertainment), selon lequel le plaisir et la connaissance se complètent, ainsi, même ceux qui ne connaissent pas le mot histoire peuvent profiter de chaque seconde et apprendre.

La capsule du futur - spectacle 3D dans le corps humain

Le spectacle se déroulera en hébreu

Cette performance unique vous dévoilera les secrets de la machine la plus sophistiquée que l'homme n'ait pas conçue : le corps humain lui-même. Vous êtes-vous déjà demandé comment nous respirons, absorbons des informations, digérons ce à quoi nous ressemblons de l'intérieur ? La performance répondra à toutes ces questions et plus encore, à travers des simulations 3D spectaculaires et précises du corps humain. Ensemble, nous voyagerons à travers l'oreille, le cerveau, à travers les muscles, les poumons et même l'utérus.

Le voyage est rendu possible grâce à "Info", une capsule-robot futuriste qui guide le voyage et offre sa propre perspective unique sur ce qui se passe dans notre corps.

L’ascenseur de temps, Jérusalem

Ce musée offre à ses visiteurs une possibilité unique de rentrer dans l'univers de l'art islamique et de découvrir une collection des premières traces de notre histoire, celle de M. David Salomons. Le musée a été construit en 1975 avec le concours financier de madame Salomons, il a rapidement réussi à accueillir des milliers des visiteurs du monde entier. Des expositions temporaires viennent régulièrement s’ajouter à la permanente.

<h3 style="text-align: justify;">Exposition « L’histoire de l’islam »</h3>
Une exposition superbe « L’histoire de l’islam » est présentée aux visiteurs dans la nouvelle salle « Introduction à l’islam » ouverte au public depuis septembre 2013. Grâce aux vidéos innovatrices, éclairage et design, l'exposition prend vie. Dans la salle, vous découvrirez un mur énorme décoratif où a été peint la foule qui encerclait la pierre Kaaba à La Mecque où se trouvait « la pierre noire » sacrée à tous les musulmans. Derrière cette salle s’ouvre une autre salle où sont présentés les différents aspects de l’art islamique. L’exposition est divisée en sections : la première se focalise sur les composants religieux de l’art islamique, la deuxième est consacrée à la contribution de l’islam à la connaissance de l’humanité : astronomie, médecine et autres sciences. Toutes les pièces d’art islamique exposées sur exhibition captivent et charment votre imagination.
Pendant la visite du musée vous découvrirez une des pièces principales du musée : « Trésor de Harari », la collection la plus rare de vases précieux d’argent datée du onzième – douzième siècle.
L’histoire de cette collection est particulièrement captivante. Un marchand riche qui voyageait d’Espagne à la Perse s'est trouvé obligé de cacher son trésor lorsque des brigands l'ont poursuivi. 900 ans après, au début du 20ème siècle, le trésor a été trouvé dans une cruche en argile dans une caverne au nord d’Iran. Cette trouvaille est unique parce que les explorateurs n'ont jamais réussi à trouver les vases d’argent des 11-12 siècles d'aussi belle qualité.

Musée d’art islamique L.A.Mayer

Le parc de la Cloche de la Liberté (The Liberty Bell Park), l'un des plus grand parcs de Jérusalem, a été créé en 1976 en l'honneur du bicentenaire des États-Unis, et tire son nom de la réplique de la célèbre Liberty Bell de Philadelphie en son centre. Le parc s'étend de Emek Refaïm dans la colonie allemande jusqu'à les rues Jabotinsky et Keren Hayessod à Talbiyeh. Il est en face du pittoresque quartier Yemin Moshe, et seulement quelques minutes à pied de nombreux hôtels de luxe de la ville, y compris Inbal - qui donne sur le parc - King David, et centre commercial Mamilla.
Parc de la Cloche de la Liberté est un endroit idéal pour un pique-nique contenant de nombreux équipements pour les enfants et les adultes. Il s'agit notamment des terrains de basket, une piste de roller, terrains de jeux, une sculpture de dragon, et bien sûr, le Théâtre Train, qui met en scène des spectacles de marionnettes et autres spectacles pour les enfants de tous âges. Plus important encore, le parc de la Cloche de la Liberté dispose de nombreuses étendues herbeuses et de l'ombre.

Parc de la Cloche de la Liberté

Dans la vallée du Cédron, au pied du Mont des Oliviers, près du jardin de Gethsémani et de l’église de Toutes-les-Nations, est situé le sépulcre de Marie. 

Le Tombeau de Marie

Mishkenot Shaananim fait partie de l'histoire de Jérusalem depuis les années 1860 quand il devient l’un des premiers quartiers construits hors des murailles de la Vieille ville.
Construit le long des pentes pastorales qui font face à la Vieille Ville, le quartier est devenu un lieu très fréquenté par les artistes, rendez-vous entre l'art et la culture dans un esprit de dialogue, de coopération et de pluralisme. Une maison d'hôtes bien connue, accueille d'ailleurs artistes et écrivains.
Mishkenot Shaananim accueille aussi le Centre Musical de Jérusalem (JMC), une organisation indépendante et à but non lucratif, qui propose des concerts d'une très grande qualité et qui contribue à l'émergence des talents d'Israёl.
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Mishkenot Shaananim Jérusalem

Une des premières curiosités de Jérusalem à récolter des murs de la Vieille ville, Le Moulin de Montefiore a été nommé en honneur de juif anglais philanthrope Moïse (ou hébreu Moché) Montefiore. Le moulin a été construit en 1857 sur la place où le voisin de Mishkenot Shaananim serait établi il y a 12 années. Il a été projeté originalement comme le moulin fariné et a été la partie du projet de Montefiore – aider le Vieux Yishouv (pré 20ième l’organisation juive de Palestine) a devenu plus plein d’assurance. Montefiore qui s’est consacré à la promotion de l’industrie sur la Terre Sainte aussi a créé la presse écrite et l’usine textile et a entreprit beaucoup plus de projets.
Le moulin à vent n’a plus servi comme le moulin fariné depuis 1891, quand l’organisation juive a commencé à utiliser les moulins vapeurs pour moudre leur blé. Cependant cela a commencé à porter la signification culturelle et pendant 1948 les combattants juifs ont utilisé la guerre de l’indépendance comme le point d’observation. Les autorités anglaises à leur tour ont bombardé le moulin à vent, l’agression avec justesse nommée «Opération Don Quichotte.»
Le moulin à vent est l’arrêt essentiel pour tous qui désirent savoir plus de la transition de vieux au nouveau Jérusalem dans le tard 19ième siècle et des efforts ambitieux de Moïse Montefiore, un des justes icônes de vieux unité juif sur la Terre de Israël.

Le Moulin de Montefiore

<div class="raw-html-embed">L'importance du Mont des Oliviers ne doit pas être minimisée : en terme historique - il accueille un cimetière juif depuis les temps bibliques - mais aussi par rapport au rôle crucial qu'il devrait jouer à la fin des temps.</div>Vu en plein soleil depuis le Mont du Temple, directement à l'ouest, ce qui frappe le plus sur le Mont des Oliviers est l'éclat des nombreuses tombes - environ 150 000 en fait - éparpillées comme au hasard sur sa pente ouest. Les Juifs ont été enterrés au Mont des Oliviers depuis des milliers d'années, même si plus récement, ils sont de moins en moins &nbsp;nombreux à y être enterrés. Une des raisons est que le cimetière est tout simplement presque plein. De plus, entre 1948 et 1967, le Mont des Oliviers était sous contrôle jordanien ( les jordaniens qui non seulement interdisaient les enterrements juifs mais ont aussi systématiquement désacralisé de nombreuses tombes) et en 1967 quand Israël récupère sa souvraineté sur les lieux, les habitants de Jérusalem ouest ont déjà établi d'autres cimetières dans la ville.Les tombes de nombreuses personnalités juives se répartissent sur le site, parmi les quelles celle de Absalom, le fils du Roi David, et plus proche de nous dans l'histoire, celle du Rav Kook et de Menachem Begin. Le Mont des Oliviers est mentionné plusieurs fois dans la Bible, la première fois en rapport avec le Roi David qui grimpa le Mont des Oliviers lors de sa fuite devant Absalom. Toutefois, la mention la plus célèbre apparait dans le livre de Zacharie, qui dit que à la fin des temps, D. se tiendra sur le Mont des Oliviers lorsque la montagne se séparera en deux, marquant le début de la résurection des morts.D'après la tradition chrétienne, la Vallée de Kidron, qui s'étend du Mont des Oliviers au Mont du Temple, est le lieu où Jésus marcha en dernier. Sur le flan nord du Mont se trouve la Jardin de Gethsemanie, là où Jésus aurait été capturé. Il y a aussi plusieurs églises sur le Mont des Oliviers, dont l'Eglise Notre Père et l'Eglise de toutes les Nations.

Le Mont des Oliviers

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Entre 1948 et 1967, la Vieille ville de Jérusalem était gouverné par des Jordaniens. La montagne de Sion était la plus proche, puisque située non loin des murs à l’extrémité sud de la vieille ville, permettant aux Israéliens de venir au Mont du Temple. La colline a été appelée « la montagne de Sion » durant le Moyen-Age, bien que les écritures juives l'appellent le mont du Temple.
Il est intéressant de noter que la légende raconte que dans un premier temps le Sultan Soliman le Magnifique avait l’intention d'avoir la montagne de Sion à l'intérieur des murs de la Vieille ville. Cependant, les ingénieurs turcs qui planifiaient la restauration des murs avaient par erreur planifié la montagne de Sion et le Tombeau du Roi David en dehors des murs, ce qui a mis le sultan en colère et il décida à les exécuter. Dans la montagne de Sion se trouvent des sites très importants et des points de repère tels que la Salle de la Dernière Cène, le Tombeau du Roi David, la Chambre de l'Holocauste, l'Abbaye de la Dormition et le Cimetière Protestant. Oskar Schindler est enterré ici, tel L'Homme juste et de Paix qu'il était.

La Montagne de Sion

Le devenir de l’Etat d’Israël a été marqué non seulement par le conflit prolongé des peuples juif et arabe en Palestine mandataire, mais aussi par le soulèvement acharné des Juifs contre la présence coloniale de la Grande-Bretagne sur la Terre Sainte. Les forces juives ont attaqué le gouvernement britannique, leur infrastructure et surtout les points-clés. L’opération la plus connue s’est passée en juillet 1946 – c’était le bombardement de l’hôtel « King David ». Les structures paramilitaires juives se sont regroupées en 3 organisations principales – la Haganah, l’Irgoun et le Lehi.
En 1917 la Grande-Bretagne a repris les Territoires Palestiniennes à l'Empire ottoman, en installant leur état-major personnel au centre de Jérusalem dans une partie de la Cour de Russie, et la prison centrale - dans une autre. Sous mandat britannique plusieurs gens y ont été détenus, dont la plupart pour raisons politiques. Pendant la Guerre d'indépendance de 1948 les soldats juifs se sont emparés de la prison au cours de l’opération « Kilshon ». Après l’avènement de l’Etat d’Israël la Cour de Russie avait été affectée à diverses utilités, jusqu’au moment où, en 1991 le ministère de la Défense a transformé l’ancienne prison en musée. Les objets de l’exposition sont des cellules elles-mêmes, la synagogue, la cellule qui enfermait des prisonniers juifs et dont les murs ont vu le juste légendaire israélien Rabbi Aryeh Levin qui y venait les jours de fêtes juives et de Chabbat pour visiter les emprisonnés; la cour de prison, la cellule individuelle et beaucoup d’autre. Sur les murs du Musée des Prisonniers Clandestins on peut lire des mémoires et des histoires de la période de l’Etat émergeant. L’excursion à travers le musée est assez sombre et triste, mais sans aucun doute, elle laisse à découvrir.
Photo: Moshe Cohen

Musée des Prisonniers Clandestins

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Les expositions de ce musée d'art contemporain abordent les questions politiques, les problématiques actuelles et passées telles que les contradictions entre les Israéliens et les Arabes, le conflit entre le Jérusalem Oriental et Occidental. L’objectif de musée est de « présenter l’art sans bornes pour attirer l'attention de la société sur les problèmes sociaux ».
Unique en son genre, ce musée politique et social exhibe les meilleurs exemples de l’art contemporain. Le musée a été fondé en 1999 avec le soutien de la famille allemande Von Holtzbrinck. Il se trouve sur la grande route 1, au long de laquelle passait la frontière avec la Jordanie, d'où son nom « Seam » qui signifie en anglais la fracture, la coupure. Le bâtiment du musée a été construit en 1932 par un arabe-chrétien Antoine Baramki. Jusqu'en 1967 l’édifice servait de station militaire et de poste frontière.
Sur le toit du musée se trouve un café ensoleillé offrant une vue panoramique sur Jérusalem. Les dernières expositions du musée étaient consacrées à certains problèmes actuels tels que les droits de l'homme, l’angoisse affective, la corrélation du personnel et du public. Le musée du « Seam » est devenu un reflet des conflits et problèmes de la société israélienne. Par exemple, l’exposition « En dehors de la mémoire » montre les versions possibles de développement de l’avenir afin d’apprendre à éviter les fautes commises. A l’exposition sont présentées les œuvres de 24 peintres de différents pays y compris Christian Boltanski et Bill Viola.

Le musée du « Seam »

Musée archéologique Rockefeller est une collection merveilleuse d’antiquités placée dans un bâtiment non moins merveilleux. Les trouvailles archéologiques présentées dans ce musée ont été trouvée sur La Terre sainte au temps du mandat britannique. Ils sont les preuves incontestables de culture riche de civilisations qui jouaient un rôle important dans l’histoire de région depuis les temps les plus anciens.&nbsp;Le musée a été créé par James Henry Breasted, le fondateur et dirigeant de l'Institut oriental de l’Université de Chicago, qui, en visitant la Palestine en 1925, était étonné que Jérusalem n’avait pas eu de musée archéologique. Breasted a sollicité l'aide du philanthrope américain John D. Rockefeller Junior qui a donné deux millions pour le projet. La place de construction a été choisie au nord-est de la Vieille Ville dans la rue de Sultan Soliman. Quand le musée a été ouvert en 1938, il a été donné le nom officiel du Musée archéologique de Palestine, mais chez peuple il était plus connu comme le Musée Rockefeller.Pendant la guerre des Six Jours en 1967 les soldats israéliens usurpaient le bâtiment hexagonal qui se situait séparément d’autres et utilisaient ses tours comme les postes d’observation. Depuis le temps quand Israël a commencé à contrôler Jérusalem-Est, le Musée d'Israël et l’Autorité des antiquités d'Israël ont commencé à diriger le Musée Rockefeller. L’administration de l’Autorité des antiquités d'Israël se situe sur cette place. Dans le Musée Rockefeller les trouvailles archéologiques sont exposées en ordre chronologique ainsi que dans la Bible Lands Museum. Les trouvailles les plus anciennes ont environ deux millions ans.Parmi les pièces exposées les plus intéressantes sont les lambris en bois du 8me siècle de la mosquée al-Aqsa, les linteaux de marbre du 12me siècle de l’Église du Saint-Sépulcre et les trouvailles de Lakish, Ashkelon et Megiddo. Il y a un autobus qui circule du Musée d'Israël au Musée Rockefeller. A 11h le lundi et le mercredi on y fait les excursions.

Musée archéologique Rockefeller

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Des missionnaires écossais faisaient déjà des pèlerinages vers la Terre Sacrée dès le 19ème siècle, mais le nombre des résidents écossais à Jérusalem augmente considérablement avec le mandat britannique après la Première Guerre mondiale. Avec le soutien du vicomte Allenby, ils établissent en 1920 l’église Saint-André (St. Andrew’s Church), à la commémoration des soldats écossais morts durant la Guerre.
A l’église Saint-André, qui se situe à côté du Centre Menachem Begin (Menachem Begin Heritage Center), donnant sur la Vallée de Hinnom et le Mont Sion, des messes se tiennent régulièrement. L’église abrite également une maison d’accueil écossaise, offrant aux pèlerins et aux voyageurs un logement confortable, dans le cadre vieilli mais très calme, au cœur d’un des centres culturels de la ville – de la Cinémathèque jusqu’à la Première Gare, en face de Liberty Bell Park.

Église Saint-André, Jérusalem

Attractions à Jérusalem, Près de la vieille ville